En pleine hystérie vaccinale et après l’hydroxy-chloroquine, une autre piste intéressante mais tout autant contestée : l’ivermectine.
Publié le 21 Janvier 2021
Xavier Bazin – journaliste scientifique, éditeur et écrivain, passionné de médecine naturelle instigateur du projet Santé Corps Esprit - fait partie de quelques-unes de mes références auxquelles il m’est parfois agréable et instructif pour mes lecteurs d’ouvrir mon espace. Même si cela décoiffe certains esprits chagrins et qu'au passage, l’intéressé est la cible privilégiée de quelques excités de circonstance.
Selon Nicholas Christakis, un foisonnement culturel et artistique ainsi qu'une très forte croissance économique caractériseraient l'après Covid 19 : acceptons-en l'augure !
Le sociologue et médecin américain Nicholas Christakis – j’y reviendrai prochainement - qui compte aussi parmi mes références estimant, pour mon plus grand bonheur, que réprimer les gens qui parlent est une sorte d’idiotie du plus haut niveau.
A qui l'honneur ?
C’est en tout cas une raison intéressante et complémentaire d’une réflexion ayant le mérite de ne pas entrer dans la sphère des poncifs mais plutôt d’apporter un éclairage original sur des problématiques de circonstance, en l’occurrence la Covid-19 qui sévit depuis des mois avec sa kyrielle de questions souvent sans réponses sinon satisfaisantes et angoissantes. Pour le scientifique américain, le foisonnement culturel et artistique ainsi qu'une très forte croissance économique caractériseraient l'après Covid. Acceptons-en l'augure.
DUO DIABOLIQUE
En attendant, rabâchée par les « bobos » de service et les suppôts du système - la plupart grassement appointés par Big-Pharma and Co - sur les chaînes dites d’infos et devant les micros radiophoniques par ces rapporteurs dûment formatés, la mayonnaise ainsi montée a tout lieu de porter sur les fonts baptismaux des gouvernances concernées sinon des sociétés cotées en bourse, la bonne parole salvatrice sous la forme d’un vaccin miraculeux et réducteur encore hypothétique d’un virus éminemment ravageur formant aujourd’hui avec son acolyte récemment sorti du chapeau viral - le variant - un duo diabolique.
Dans cette gabegie planétaire certains ont fait les frais d’un retour à la raison en relativisant la dangerosité de ce virus jusqu’à découvrir, ô crime de lèse-majesté, les auteurs du complot.
De quoi déterrer la hache de guerre.
Le professeur Didier Raoult – à tort ou à raison – et autre (pour l’instant) professeur Christian Perronne, viennent d’en faire amèrement les frais sur l’autel de leur docte et intouchable corporation. Rien ne dit pourtant que la raison n’est pas de leur bord.
Albert Einstein considérait que si l’on ne pèche pas du tout contre la raison, on n’arrive généralement à rien. Autrement encore, Anton Tchekhov estimait quant à lui que nulle raison ne pourrait justifier le mensonge. Suivez mon regard.
Wait and see comme le conseillent les flegmatiques anglais.
Exit (momentanément) l’hydroxychloroquine mais la chasse au trésor pharmaceutique n’est pas pour autant fermée.
PREUVES SCIENTIFIQUES
Ainsi, selon les investigations de Xavier Bazin, il existerait un médicament susceptible de stopper net l’épidémie en seulement quelques jours, sauver des milliers de vies dans les E.H.P.A.D et parmi les personnes vulnérables jusqu’à nous délivrer de tous les inconvénients relevant de la Covid-19 et notamment de nous restituer la liberté : ce médicament, c’est l’ivermectine.
Par les preuves et sans le moindre conflit d'intérêt ...
Le 16 décembre dernier Xavier Bazin le qualifiait de « médicament miracle ». Et depuis, selon lui, les preuves n’ont pas cessé de s’accumuler :
« Après le poignant appel du Dr Pierre Kory au Sénat américain, c’est la Dr Theresa Lawrie qui s’est solennellement adressée à Boris Johnson pour « sauver des vies » avec l’ivermectine. Le 3 janvier ce médecin spécialiste de la médecine par les preuves et sans le moindre conflit d’intérêts a publié un rapport urgent, dans lequel elle examine en détail les 27 études scientifiques sur l’efficacité de l’ivermectine contre la Covid-19. »
Pour Xavier Bazin, la conclusion est claire et nette :
« L’ivermectine est un médicament anti-parasitaire très sûr et efficace, largement utilisé dans les pays en développement. Ce médicament est connu depuis des décennies, et non seulement il fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’OMS, mais sa découverte a donné lieu à un prix Nobel de médecine en raison de son utilité contre de nombreuses maladies. Les preuves scientifiques sont cohérentes et sans équivoque : l’ivermectine fonctionne à la fois pour prévenir les infections et éviter la mortalité, aux mêmes doses utilisées habituellement contre les infections parasitaires ».
Dont acte.
BLUFFANT !
En Belgique, le 21 décembre dernier, c’est au virologue Marc Wathelet de lancer un appel solennel au Premier Ministre, en expliquant que l’ivermectine représente une opportunité exceptionnelle de débarrasser la Belgique et le monde du Sars-CoV-2 (sic)
Etudes cliniques et randomisées : la chasse au trésor ne sera pas fermée de si tôt !
En France, on commence à prendre enfin conscience de cette opportunité. Sans enthousiasme débordant.
Pourtant, le docteur Philippe Gorny publie dans la presse une tribune expliquant les preuves scientifiques incontestables en faveur de ce traitement :
« En Argentine par exemple, près de 1 200 soignants au contact de malades Covid-19 ont été suivis pendant dix semaines dans quatre centres : 788 reçurent l’ivermectine, 407 n’eurent aucun traitement. Au terme de l’essai, 237 sujets furent infectés dans le groupe sans médicament et aucun dans le groupe traité. Bluffant ! (…)
On dispose de 28 études cliniques dont 10 randomisées. L’ivermectine a été utilisée dans 7 études à titre prophylactique, dans 6 précocement dès les premiers symptômes, dans 13 essais à des stades tardifs et souvent graves. Son bénéfice apparaît important et net à toutes les étapes et dans tous les essais sauf dans deux ayant inclus un très faible nombre de sujets (…)
Si on groupe les seules études randomisées, la probabilité qu’elles aient généré des résultats faussement positifs serait de 1 sur 1 000 ! »
Anton Tchekhov : pour l'auteur de "La Mouette" : "nulle raison ne pourrait justifier le mensonge."
Bizarrement, cela ne suffit pas et les pays occidentaux, la France ne faisant pas exception à la règle du tous pour un et du un pour tous, obsédés par le vaccin, seront à n’en pas douter les derniers à utiliser ce médicament providentiel … à l’inverse des pays en développement, moins influencés par Big Pharma et où l’ivermectine est de plus en plus recommandée.
Par exemple, la région du Chiapas, au Mexique, la seule région qui n’aurait pas connu de hausse de la mortalité !
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