Marrakech : la société F.B.S. inaugure au bled son université de printemps.

Publié le 23 Mai 2017

Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !
Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !
Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !
Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !

Mme Zoubida Ammal El Boustani en compagnie d'une partie de ses collaborateurs; Hanane Oubidar en plein "coaching"; les enfants invités à découvrir les merveilles de la couleur et des formes; Zoubida El Boustani tout sourire; un décor paisible et le résultat d'une journée de compilation extra professionnelle que beaucoup de peintres ne renieraient pas !

Henri Bergson souhaitait déjà, au début du XXème siècle, ce qu’il appelait « un amour du genre humain. »

Quasiment un siècle plus tard, le bilan sinon la démarche, ne sont pas particulièrement brillants.

Il s’est installé une manière souvent déguisée d’individualisme, voie ouverte à l’égoïsme donc à la solitude, qui tend, au sein de l’actuelle société, à faire la démonstration du contraire. Au détriment, bien sûr, de la rentabilité mais surtout de la qualité.

En fin de compte, la perte d’un art de vivre ensemble.

La manière de travailler instaurée notamment par les grandes firmes industrielles et commerciales qui ont tenté, à leur manière, de changer les codes et de faciliter dans les entreprises une sorte de réinvention du travail.

Google est un exemple entre autres.

Il semble, en tout cas, que ce ne soit pas la panacée.

Résultat des courses, tout le monde se cherche et, comme il se doit, a quelques difficultés pour se trouver sinon se retrouver ou carrément s’y retrouver !

Quelques petites sociétés à leur niveau ont compris la nécessité de changer les choses et les mentalités au sein de leur groupe.

Sans pour autant détruire un système qui n’a pas que des défauts.

IMMERSION

La société FBS installée depuis plusieurs années à Marrakech - où sa présidente, Mme Zoubida Ammal El Boustani, apparaît comme un modèle féminin type de la société marocaine qui a su insuffler cette dynamique commerciale se traduisant, actuellement, par un actif remarquable - a compris que le temps était peut-être venu de redistribuer les cartes quant aux valeurs incontournables, en termes de réussite à long terme.

La nécessité aussi de dynamiser des équipes certes compétentes mais qui individuellement d’abord puis dans le groupe avaient besoin de mieux se motiver au sein d’un marché de plus en plus compliqué et concurrentiel.

D’où cette idée que je qualifierais, à l’image de ce qui se passe dans de nombreux pays dont la France et ce, depuis des décennies, avec les partis politiques, à savoir d’organiser des université dont le but est de favoriser, par une sorte d’immersion dans la conjoncture du moment, le renouveau.

A ce sujet, de plus en plus d’initiatives sont actuellement conduites par ce qu’en mauvais français sinon franglais, on nomme le « coaching ».

Ce qui, au fond, s’apparente aux ressources humaines.

On peut y adjoindre aussi, côté pratique, les séminaires et les formations en tous genres.

UNE JOURNEE A LA CAMPAGNE

En faisant appel à Hanane Oubidar – coach professionnel et directrice de la société Seiton Consulting, dont le parcours professionnel s’est affirmé au sein de grands groupes internationaux – Mme Zoubida Ammal El Boustani a souhaité, dernièrement et dans le cadre d’une journée « of the record » convier son personnel, leurs familles et leurs enfants dans un lieu volontairement bucolique, loin de la ville pour ne pas en supporter les nuisances.

Une journée à la campagne mais pas pour autant en pays de dilettantisme.

Le prétexte aussi, pour l’animatrice de ce « day off », de mettre en exergue le fameux conseil de Socrate :

« Connais-toi toi même ! »

Et dans le même temps expliquer qu’aujourd’hui le détecteur « Q.I » a été remplacé par «le « Q.E » (ou coefficient émotionnel) au fond le maître mot de l’emploi moderne.

Le cadre de cette manière d’université : le Bled.

Un complexe hôtelier niché aux confins de l’urbanité citadine, hier, isolé dans les oliviers et autres roseaux. Aujourd’hui, un peu moins… extension de la ville oblige !

Un endroit cependant paradisiaque en terme de nature avec une structure des plus simples lorsqu’on franchit le seuil de ce domaine dévolu à l’art de vivre le plus simple et le plus basique. Mais pas moins attachant pour autant.

En somme, le lieu idéal pour réfléchir et en l’occurrence faire réfléchir.

Un programme de « festivités » qui n’occultait pas les pauses petits déjeuners et déjeuners. Le temps indispensable et nécessaire pour ensuite aborder les choses sérieuses.

Pendant ce temps, les enfants étaient invités à participer à des ateliers de peinture et de danse.

FEUILLE DE ROUTE

Dans la zone réservée aux adultes, il appartenait à l’animatrice de cette journée, Hanane Oubidar, de définir les grandes lignes de cette manière de découverte de soi-même en totale osmose avec les autres.

Un travail de groupe enrichissant par cette façon offerte à chacun de s’exprimer face aux autres. De se déterminer aussi après s’être présenté en toute simplicité.

Ces civilités d’usage accomplies il fallut passer aux choses sérieuses.

Au moyen de la représentation que chacun pouvait se faire de  l‘entreprise. Par le biais de la symbolique animale, par exemple.

La partie autrement constructive visant à déterminer, souvent par élimination ou déduction, les valeurs intrinsèques de la société F.B.S, je dirais, par extension, de toute société, constituait sans conteste la partie forte et au fond la véritable prise de conscience des membres de l’équipe confrontés aux valeurs profondes et révélatrices de la réussite.

L’honnêteté, la valorisation et la reconnaissance, l’efficience, l’atteinte des objectifs, la communication et, en conclusion de cette échelle de valeurs, la satisfaction du client.

Une feuille de route qui, au terme de cette journée, a trouvé sa conclusion artistique et représentative de ce que souhaitaient les collaborateurs de Mme Boustani en termes de code de bonne conduite Cela,  sous la forme d’un tableau réalisé en concertation de groupe et sous l’autorité de Rachid Bakkar, peintre et professeur d’art plastique.

En conclusion, j’aime assez cette phrase de Goëthe :

« Tout ce que vous pouvez faire, ou rêver, vous pouvez le commencer. L’audace a du génie, du pouvoir et de la magie. »

 

 

Bernard VADON